Présentation effectif et maillots CO 2021/22

Mehdistream81 a écrit:Nickel, je vais recevoir ma nouvelle carte d abonnement!!!!
J ai payé juste 10% de la saison dernière,  11euros seulement,  ça faut vachement le coup!!!  

Bah ça fait pas cher   J'aurai manqué 3 matchs mais c'est pas grave. Tu es en quelle tribune ?

Je vais la recevoir bientot
Et donc Tribune Nord, travée 13

Mehdistream81 a écrit:Je vais la recevoir bientot
Et donc Tribune Nord, travée 13

Ah cool. T'es abonné depuis quelle année ?
Moi en Tribune Gabarrou latérale haute coté sud près d'une loge. On a aussi une belle vue sur le clocher de l'église St-Jean St-Louis.
J'en avait marre de la Tribune Sud ou Nord car la vue en largeur ne permet pas de bien apprécier le jeu

Abonné depuis 3 ans, car avant je matter tpus les matchs a la télé pépère

Petit cadeaux pour tous les amis :
https://www.lequotidiendusport.fr/castres-olympique-un-mercato-de-feu-et-revoila-le-co/

https://castres-olympique.com/breves/une-1ere-reunion-supporters-reussie/

Nos futurs Champions de Demain:
https://fb.watch/81w1sDPDVJ/

Mehdistream81 a écrit:Abonné depuis 3 ans, car avant je matter tpus les matchs a la télé pépère

Petit cadeaux pour tous les amis :
https://www.lequotidiendusport.fr/castres-olympique-un-mercato-de-feu-et-revoila-le-co/

Bon j'avoue l'hiver on se les gèle un peu au stade

https://www.ladepeche.fr/2021/09/23/co-des-joueurs-pros-parrainent-chaque-categorie-de-lecole-de-rugby-9807956.php

Mehdistream81 a écrit:https://www.ladepeche.fr/2021/09/23/co-des-joueurs-pros-parrainent-chaque-categorie-de-lecole-de-rugby-9807956.php

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Accueil Sport Rugby à XV Castres Olympique
Castres. CO : des joueurs pros parrainent chaque catégorie de l’école de rugby
ABONNÉS
Plusieurs joueurs pros vont accompagner des jeunes de l’école de rugby du CO tout au long de la saison. Comme ici Laveau et Larregain avec les moins de 14 ans.Plusieurs joueurs pros vont accompagner des jeunes de l’école de rugby du CO tout au long de la saison. Comme ici Laveau et Larregain avec les moins de 14 ans.

Castres Olympique, Castres
Publié le 23/09/2021 à 05:14 , mis à jour à 05:22
"Entre le Covid et certaines images violentes que l’on peut voir circuler sur notre sport, c’est une vraie satisfaction", lâche Yves Salvaire le président de l’association du Castres olympique ravi de constater que les effectifs de l’école de rugby pour cette rentrée sont en légère hausse avec 200 jeunes rugbymen répartis dans les catégories qui vont des moins de 5 ans au moins de 14 ans. "L’obtention l’an dernier du label 3 étoiles a sans doute joué", confie Yves Salvaire.

Il faut dire que le CO met les moyens pour séduire les jeunes. D’abord en renforçant les liens entre la structure professionnelle et l’école de rugby qui accueille de nombreux enfants de joueurs pros. Depuis cette rentrée, des joueurs de l’équipe fanion parrainent chacune des catégories et viennent régulièrement animer des séances d’entraînement. Au moins deux joueurs pros par catégorie, des plus petits aux plus grands (voir encadré). Même les seniors féminines et les Espoirs ont des parrains qui s’engagent aussi à venir les voir jouer quand ils le peuvent. "Les joueurs et les jeunes s’envoient des messages de soutien lors de leurs matchs respectifs, confie Fabrice Norgieux le responsable de l’école de rugby du CO. C’est un parrainage actif". "Les enfants et même les parents ont les yeux qui brillent", confie Isabelle Alquier-Bouffard, secrétaire de l’école de rugby.

Pas de sélection mais une approche professionnelle
Mais surtout le CO a continué contre vents et marées, malgré les contraintes sanitaires, à proposer au maximum des activités à ces jeunes durant cette crise. "Cela a été très dur, confirme Fabrice Norgieux. Mais on est resté ouvert pour fidéliser les jeunes au club". Cela a même permis aux éducateurs de travailler davantage la technique individuelle qui est une priorité. "Avant dans le rugby, on travaillait tellement le jeu et le mouvement général qu’on en oubliait la motricité et la vitesse d’exécution", confie encore le technicien qui a pour ambition de bien préparer les jeunes aux catégories supérieures "où là on peut travailler la stratégie" et leur permettre éventuellement d’intégrer la pépinière (minimes), puis l’académie (cadets) et enfin le centre de formation (espoirs). Car même si l’école de rugby du CO accueille tous les jeunes, filles et garçons, sans aucune sélection, cela n’empêche pas d’avoir une approche "professionnelle". Chaque catégorie a deux entraînements par semaine. Un troisième est même proposé au moins de 14 ans s’ils ont la capacité de le gérer avec leur scolarité. "Même si le club a une image de haut niveau, on mène d’abord un travail éducatif et social pour donner envie aux enfants de faire du sport et leur apprendre le vivre ensemble. D’ailleurs les éducateurs les plus diplômés encadrent les petites catégories", explique Fabrice Norgieux qui peut compter sur une équipe d’éducateurs bénévoles "sympas, motivés et compétents qui rassurent les parents", selon Yves Salvaire soulignant "le boulot énorme" de Fabrice Norgieux et Isabelle Alquier-Bouffard. "Il y a eu peu de turnover dans l’encadrement", confirme Fabrice Norgieux qui peut aussi compter sur des renforts comme trois cadettes et une joueuse de l’équipe féminine seniors qui s’investissent cette saison auprès des jeunes. Ou encore un Espoir en service civique. Il y a aussi Guillaume Gautrand et Kevin Laheurte, deux anciens espoirs du CO en licence par alternance des métiers du sport et de l’animation, qui mettent en pratique leur cursus en menant des actions dans les établissements scolaires pour promouvoir le rugby. "On a aussi un partenariat avec l’association Rebonds ! qui utilise le sport comme outil d’éducation et d’insertion sociale et professionnelle auprès de publics en difficulté. Ils nous aident à faire le lien avec des familles qui auraient des problèmes pour financer la licence ou de transports", ajoute Fabrice. Sans oublier Yoan Bailly qui fait "un gros travail" avec le 100 % région, dispositif qui lit le CO avec des clubs de la région, notamment pour les moins de 14 ans afin de construire une équipe compétitive. Yoan Bailly qui gère aussi avec Christian Abrial l’école d’arbitrage. "On a beaucoup de choses en marche", conclut Yves Salvaire, un président heureux.

Les parrains par catégorie
M6 : Arata et Hounkpatin; M8 : Dumora , Aguillon et Urdapilleta; M10: Dumora et Babillot; M12: Palis et Barlot; M13 : Vanverberghe et Zeghdar; M14: Laveau et Larregain; Cadettes : Nakosi, Cocagi, Raisuque et Botitu; Cadets A: Lebrun et Walcker; Cadets B: Wihongi, Kockott et Amans; Crabos : Combezou et Hannoyer; Espoirs : Staniforth et Champion de Crespigny; Seniors féminines : Onambele et Hounkpatin.

L'ÉQUIPE



Rugby Top 14, Castres
issu du journal
En quoi consiste la méthode de Giacobbi, le baroudeur bâtisseur du Castres Olympique ?
Passé par l'Afrique du Sud et les Saracens, en Angleterre, Vincent Giacobbi, le directeur de la performance de Castres, a construit sa méthode au fil de ses voyages et de ses rencontres.
Renaud Bourel (avec A. Bo.)
25 septembre 2021 à 00h05
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L'information a fuité, discrète, dans le style du personnage. Pierre-Henry Broncan, son manager, a pourtant appuyé l'éloge pour en faire l'annonce : « C'est passé inaperçu, mais nous avons obtenu la prolongation de Vincent Giacobbi. On n'a rien dit parce qu'il ne fallait pas trop l'ébruiter, mais c'est le meilleur préparateur physique de France et il est encore pour trois années, tranquille, chez nous. » Tranquille ascendant taciturne, corrige le cercle des intimes. Ceux qui ont joué avec lui, en revanche, décrivent un centre rugueux, pas marrant le samedi, à 15 h, et pas vraiment plus drôle lors de l'opposition de milieu de semaine.

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Giacobbi (43 ans), c'est un genre de Corto Maltese au pays du rugby. Les voyages, entrepris très jeune, ont construit un coach à part. Un genre de beauté rare dans la nouvelle galaxie des directeurs de la perf'. « La qualité de Vincent ? C'est qu'il est allé à l'étranger, notamment aux Saracens, esquisse Broncan sur la carte d'embarquement. Il a une rigueur anglo-saxonne et, avec le reste de son vécu, ici, en France, cela donne un mix très intéressant. »

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De 2012 à 2016, le Corse a effectivement appartenu à l'armada londonienne multititrée (champion 2011, 2015, 2016 et une Coupe d'Europe 2016). Tout a pourtant démarré bien plus au Sud, à la pointe de l'Afrique, lors d'un premier séjour commencé à l'été 1997 : « Je suis parti pour y jouer 8 mois via un contact noué avec Nick Mallett à Paris. J'avais 19 ans et il m'a fait rencontrer son frère, Dave, qui avait une école privée au Cap : la Western Prep School. J'étais son assistant chez les moins de13 ans. Déjà à l'époque, les Sud-Africains avaient toute une partie de jeu conditionné, ce travail de développement intégré au rugby que l'on a parfois encore du mal à installer en France. Ils avaient compris que c'était dans l'activité que l'on développait le joueur et pas avec des disciplines croisées, qui peuvent aider à compenser, mais jamais à optimiser le potentiel. »

«  force et accélération »

Vincent Giacobbi
Entre deux allers et retours au pied du globe, il repasse par la France et le centre de formation de Narbonne avec toujours ce goût prononcé pour la préparation physique : « Je ne me voyais pas faire autre chose. C'était un domaine que je privilégiais déjà en tant que joueur. Peut-être un peu trop d'ailleurs. J'étais mon propre cobaye ce qui m'a valu de faire quelques erreurs (rires). Ce n'est pas une science exacte et c'est ce qui est passionnant. Il y a des programmes différents pour chaque poste, chaque profil. Ce n'est pas que puissance, force et accélération... »

En 2002, il regagne Le Cap et nouera les contacts qui changeront sa vie : « Là, j'ai fait dix ans au cours desquels j'ai rencontré des personnalités exceptionnelles : François Pienaar, Brendan Venter et Dominic Silvester. C'est un pays particulier. Il faut gagner son pain et j'ai eu le privilège de travailler avec des gens de renommée qui m'ont fait confiance. J'ai aussi eu la chance d'entraîner au côté de Steve McIntyre (préparateur des Springboks de 2007). Il a eu une grosse influence pour tout le travail de force. » La bascule s'opère en 2012 avec son retour définitif en Europe : « Ils m'ont permis d'intégrer les Saracens, au départ par un stage. Puis Ben Pollard est parti et j'ai eu la chance de rentrer dans le groupe équipe 1 où j'ai passé quatre ans et demi. »

La machine à gagner anglaise l'enrichit de son approche innovante, constamment tournée vers le monde extérieur et les autres disciplines. Là-bas on pioche, on analyse et on adapte. Les Sarries marchent sur le continent et Giacobbi termine de forger sa méthode et ses convictions. Il pose ses valises à Castres en 2016 avec Christophe Urios. Le boss lui donne carte blanche, dans un club pas préparé à ses codes. « Les joueurs avaient été développés selon d'autres méthodologies, se souvient-il. Il a fallu un temps d'adaptation. » Heureusement, le bonhomme en impose.

« À chaque fois qu'il a un gars touché à l'entraînement, il se rend malade parce qu'il pense qu'il a loupé quelque chose. »

Mourad Abed, ex-adjoint à Castres
« Il n'est pas très souriant de prime abord, un peu bourru », se marre Mourad Abed, ex-adjoint au CO aujourd'hui patron du département athlétique de Montauban : « En arrivant, il n'a pas fait de grands discours. Les joueurs aiment savoir où ils vont et pourquoi ils font les choses et, ça, Vincent l'explique très bien. Avec Christophe, on présentait des bilans étapes tous les 5 ou 6 matches et on se projetait sur le bloc suivant. »

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La planification et la quantification de la charge de travail sont les points cardinaux de son projet, avec une obsession : garder un taux de fréquentation de son infirmerie quasi nul. « C'est le meilleur sur ce secteur, reprend Mourad. À chaque fois qu'il a un gars touché à l'entraînement, il se rend malade parce qu'il pense qu'il a loupé quelque chose. Tout ce qu'il fait est organisé pour que les effets soient durables. L'année du titre, au CO (2018), on a tourné avec 5 blessés de moyenne sur la saison. Là, il a attaqué avec 2 joueurs dehors. »

Le mentor explique être dans la prévention et non la prédiction : « Le triptyque joueurs, kinés et prépas physiques est au centre de notre programme avec pour objectif de parfaire et adapter nos contenus pour que le joueur se sente en confiance. Je travaille en lien permanent avec des gens hyper compétents et impliqués. Notre bureau est toujours en ébullition quant aux décisions à prendre, aux lignes de conduite à créer, aux projets à mettre en place. »

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Derrière sa barbe grisonnante, il y a ce regard franc et perçant qui dit tout d'un tempérament et peu de chose des sentiments. L'intéressé reçoit les hommages, gêné, et derrière un « merci » poli préfère embrayer sur son domaine. « Tout est un challenge d'une manière ou d'une autre », dit-il posément. Pour un gars comme ça, élever la voix n'est pas une arme : « On est là pour faciliter, trouver des solutions, faire adhérer. C'est le plus dur. Mais je ne me suis jamais senti dans un calvaire, même dans les saisons difficiles. Après, avec mon caractère, quand j'ai un objectif, j'ai du mal à lâcher... » Et on se demande pourquoi c'est si pénible de jouer Castres ?

publié le 25 septembre 2021 à 00h05
Top 14Castres (FRA)

Je trouve que nous avons fait beaucoup trop d en avant. Les Parisiens étaient beaucoup plus agressifs que nous le carton rouge leur a fait du bien je pense. Ils se sont resserrés.
Un que je trouve très intéressant c'est zeghdar mais egalement meka. Très très bonne rentrée.
Match haché.
La touche me semble aller un poil mieux.
Les Parisiens gagnent le match uniquement sur nos fautes. Ils n ont absolument rien montré.
Des potes sont Parisiens et pensent exactement la même chose. C est dommage. Je pense qu avec nos cadres me match aurait été totalement différent.

Grand'pat a écrit:Je trouve que nous avons fait beaucoup trop d en avant. Les Parisiens étaient beaucoup plus agressifs que nous le carton rouge leur a fait du bien je pense. Ils se sont resserrés.
Un que je trouve très intéressant c'est zeghdar mais egalement meka. Très très bonne rentrée.
Match haché.
La touche me semble aller un poil mieux.
Les Parisiens gagnent le match uniquement sur nos fautes. Ils n ont absolument rien montré.
Des potes sont Parisiens et pensent exactement la même chose. C est dommage. Je pense qu avec nos cadres me match aurait été totalement différent.

C'est le match que l'on est le plus pénalisé depuis le début de saison

Grand'pat a écrit:Je trouve que nous avons fait beaucoup trop d en avant. Les Parisiens étaient beaucoup plus agressifs que nous le carton rouge leur a fait du bien je pense. Ils se sont resserrés.
Un que je trouve très intéressant c'est zeghdar mais egalement meka. Très très bonne rentrée.
Match haché.
La touche me semble aller un poil mieux.
Les Parisiens gagnent le match uniquement sur nos fautes. Ils n ont absolument rien montré.
Des potes sont Parisiens et pensent exactement la même chose. C est dommage. Je pense qu avec nos cadres me match aurait été totalement différent.

La saison est longue faut effectuer des rotations

La vraie trouvaille également dans le staff depuis plusieurs saisons c est lui:



Y a qu' a voir chaque saison et également celle ci, la différence entre notre infirmerie et celles des autres!!!!!
Avant lui, on avait constamment, une infirmerie pleine!!!! Avec lui, elle est quasiment vide!!!! Et quand on voit notamment les joueurs qui sont là depuis plusieurs saisons, et donc connaissent le Marabout Giacobbi, serieux il est énorme !!!!!
On le met jamais, en lumière, car pas mal de joueurs ont vraiment progresser, et se blessent très peu, depuis qu il est au club!!!!
Ou si y a des blessures, c est que quelques semaines...

[size=73]Rugby : Castres cultive ses valeurs avec ses anciens

ABONNÉS
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• [size=68]Marc-Antoine Rallier passe toujours devant sa photo dans les coursives du stade Pierre-Fabre J.A[/size]
  

   
Castres Olympique, Castres, Tarn
Publié le 14/10/2021 à 20:09
Encore joueur la saison dernière, Marc-Antoine Rallier fait désormais partie des nombreux anciens joueurs œuvrant au sein du club. Rencontre avec le talonneur devenu team manager.
[size=73]Un phénomène s’est amplifié cette saison au CO : miser sur les compétences de ceux qui connaissent bien ses rouages et qui vont transmettre ses valeurs. Outre Matthias Rolland, le directeur, qui a porté le maillot « bleu et blanc » de 2009 à 2013, on retrouve au sein du staff David Darricarrère, entraîneur des arrières (1994-1995 ; entraîneur 2013-2015 et depuis décembre 2020), Yannick Caballero (2004-2005 puis 2009-2019) pour entraîner la touche, Karena Wihongi (2011-2016 puis 2019-2020) entraîneur de la mêlée. Sans oublier Romain Teulet (2001-2014), consultant pour le jeu au pied tandis qu’on peut citer aussi Rodrigo Capo Ortega, (2002-2020) qui débute une carrière d’entraîneur auprès des Espoirs.
Le CO vient donc aussi de s’attacher les services de Marc-Antoine Rallier, nantais d’origine, qui excepté une saison à Colomiers (2010-2011), a fait toute sa carrière au CO depuis les juniors. L’ancien talonneur (33 ans en décembre), précise d’emblée : « On nous appelle team manager mais il faut préciser que cette appellation exclut tout ce qui est sportif. En fait, j’ai en charge tous les détails du fonctionnement de l’équipe mais pas au niveau sportif. J’assure les liens avec l’événementiel, avec la communication, le staff médical. Disons globalement tous les à-côtés qui doivent être gérés pour que les joueurs se trouvent dans le meilleur environnement possible, y compris lors des déplacements où je fais les feuilles de match. »
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[size=73]Reconversion assurée[/size]

Le nouveau team manager ajoute : « Il s’agit qu’on n’appelle pas Pierre-Henry Broncan pour ce qui n’est pas lié directement au sportif. » Marco Rallier n’a pas attendu sa retraite de joueur au printemps dernier pour donner de son temps à ses coéquipiers : « Avec Matthias Rolland, on a créé une cellule au sein du club pour aider les joueurs à se former à un autre métier et préparer l’après-rugby. En ce qui me concerne, je m’étais dirigé vers la gestion de patrimoine. J’avais même eu des débouchés dans ce domaine avant la fin de mon contrat de joueur. Puis il y a eu cette proposition du club d’être team manager. Le challenge est excitant donc j’ai accepté. Comme tous les joueurs ne peuvent pas être entraîneur ou travailler au club. »
Rallier donne des exemples de reconversions aidées par le club et réussies : « Romain Martial a commencé avec nous une formation dans le bâtiment, maintenant il est chef de travaux. Thomas Combezou a réussi son concours pour la police, mais il a décidé de jouer encore. D’autres auparavant ont quitté le milieu du rugby mais font carrière à Castres. À l’instar de Steve Malonga qui, après une expérience dans la grande distribution, a désormais par passion une entreprise de rénovation dans le bâtiment. » Preuve qu’on peut venir à Castres pour jouer au rugby et y rester pour fonder un foyer et y vivre

https://www.ladepeche.fr/2021/10/19/video-top-14-avant-le-derby-contre-le-stade-toulousain-viaoccitanie-a-pose-ses-cameras-au-coeur-du-castres-olympique-9863142.php